27 février 2013
Milena, de Margarete Buber-Neumann
"Avoir des amis, c'était là ce que Milena désirait avant tout. Elle écrivit un jour à ce propos : "Lorsqu'on a deux ou trois personnes, que dis-je, lorsqu'on a une seule personne avec laquelle on peut se montrer faible, misérable, rabougri, et qui, pour autant, ne vous fera pas souffrir, alors on est riche. L'indulgence, on ne peut l'exiger que de celui ou celle qui vous aime, mais jamais d'autres gens et surtout jamais de soi-même.""
In "Milena", de Margarete Buber-Neumann, page 261, Points
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